L’actualité de l’orientation du 16 septembre 2024
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Un Premier nommé, mais pas de suivants. Et on s’interroge justement sur la/les politiques à suivre.
En attente de ministres
Les chantiers du futur gouvernement pour l’Éducation nationale et l’Enseignement supérieur – L’Etudiant – Educpros (letudiant.fr). “Depuis jeudi 5 septembre, la France a un nouveau Premier ministre de plein exercice : Michel Barnier a succédé à Gabriel Attal. Alors que la composition de son gouvernement est en cours de discussion, de nombreux chantiers restent ouverts dans l’Éducation nationale et dans l’Enseignement supérieur. Autant de dossiers sur lesquels les nouveaux ministres seront très attendus.”
“60% des collèges ont mis en place des groupes hétérogènes” (cafepedagogique.net). “Mercredi 11 septembre 2024, le SNPden, le syndicat des personnels de direction a tenu sa conférence de presse de rentrée. Bruno Bobkiewicz, le secrétaire général a présenté l’enquête de rentrée, les priorités du syndicat. A souligner : la rentrée sans ministre et sans annonce a apporté un peu de « calme » dans les établissements scolaires, calme bienvenu au vu de l’état d’esprit des personnels de direction qui se dégrade avec le rythme effréné des réformes.”
La réforme des groupes de niveaux n’a pas fait sa rentrée (cafepedagogique.net). “Les ministres démissionnaires Attal et Belloubet ont annoncé et lancé une réforme du « choc des savoirs » pour la rentrée 2024. La réalité du terrain est un camouflet. Une semaine après la rentrée, le verdict est clair : la réforme des groupes de niveaux, souhaitée par Gabriel Attal n’a pas vu le jour. Les syndicats enseignants comme des personnels de direction ont mené une enquête dans les collèges à la rentrée. Les enquêtes du SNES et du SNPDEN arrivent aux mêmes conclusions : la mesure-phare de la réforme du choc des savoirs n’est pas appliquée dans la majorité des collèges.”
Quand le terrain s’empare des groupes de besoins (cafepedagogique.net). “Quelle rentrée pour les groupes de besoins ? En s’emmêlant les pieds dans le tapis des groupes de « niveaux-besoins » lors de sa conférence de presse de rentrée, la ministre démissionnaire de l’Education nationale, Nicole Belloubet, aurait presque détendu l’atmosphère par son lapsus. Mais les professeur·es en auraient sans doute davantage ri, s’iels n’avaient, sur le terrain, perdu autant de temps et d’énergie, depuis des mois, à passer d’une injonction sémantique à une autre, et à faire front contre le « Choc des savoirs ».”
Médiatrice de l’Éducation nationale : hausse inquiétante des réclamations (madeinperpignan.com). “Le rapport annuel de la Médiatrice de l’Éducation nationale et de l’Enseignement supérieur, rendu public en 2023, dresse un constat préoccupant de l’état du système éducatif français. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : le nombre de saisines continue de croître, signe d’une montée des tensions au sein des établissements scolaires et universitaires. Ce rapport, plus qu’un simple bilan, est un signal d’alarme sur les dysfonctionnements persistants qui touchent à la fois les usagers et les personnels de l’éducation.”
Remise en cause des évaluations nationales
Tests de mesure des acquis : la France arrive à l’overdose ! (cafepedagogique.net). “Apparus à la rentrée 2018, les tests de mesure des acquis de début d’année scolaire sont devenus un procédé de pilotage quantitatif du système éducatif, directement inspiré des méthodes du New Public Management. Derrière les objectifs affichés d’aide aux enseignants se cache une large collecte de données destinée à construire les indicateurs de valeur ajoutée des établissements scolaires. D’abord limités aux classes de CP, CE1, 6ème et seconde, la généralisation annoncée de ces instruments de mesure laisse entrevoir un système éducatif au bord de l’overdose. Le rejet massif de cette approche managériale quantitative, d’abord exprimée par les enseignants, semble gagner les élèves et les parents.”
Mais les évaluations internationales montrent les caractéristiques de notre système que beaucoup refusent de voir : les liens entre inégalités sociales et inégalités scolaires.
OCDE 2024 : la France championne du déterminisme social (cafepedagogique.net). “Comment lutter contre le déterminisme social ? Les données de Regards sur l’éducation 2024 mettent l’accent sur les questions d’équité dans l’éducation et sur le marché du travail. Pour la France, la reproduction sociale atteint des sommets. 80% des enfants de parents diplômés de l’enseignement supérieur le sont aussi contre 25% pour les enfants de parents non diplômés. Le poids de l’origine social se mesure dès l’enfance en termes d’accessibilité aux structures d’accueil : les familles défavorisées ont moins accès à ces structures.”
La préférence française pour les inégalités. Repenser l’éducation prioritaire comme projet de société – Fondation Jean-Jaurès (jean-jaures.org). “L’éducation prioritaire, lancée par Alain Savary en 1981, matérialise une promesse forte de l’idéal républicain français : permettre à chacun de réussir selon ses capacités et non ses origines sociales. En l’état, cette promesse n’est pas tenue par l’école française et ce alors même que l’école est, dans certains territoires, le dernier service public sur lequel comptent les habitants. À partir d’un état des lieux précis des dispositifs relevant de l’éducation prioritaire, Timothée Berenguier, étudiant à l’IEP de Lille, propose des pistes pour donner pleinement à l’école sa vocation d’intégrateur social.”
Et un rapport de l’IGESR qui tombe à pic.
Rapport explosif sur les suppressions de postes et de classes (cafepedagogique.net). “Modification des seuils, suppression des effectifs réduits, fermeture de 2000 établissements… Ce rapport explosif « Revue de dépenses : dispositifs en faveur de la jeunesse » daté du mois d’avril de l’Inspection générale de l’éducation, du sport et de la recherche (IGESR) et de l’inspection des finances a été rendu public. Dans un contexte de baisse démographique et de rigueur budgétaire, le rapport « propose des méthodes d’optimisation de la répartition des moyens d’enseignement sur le territoire, prenant en compte les aspects démographiques à l’horizon 2027 ».” Par Djéhanne Gani. Pour Télécharger le rapport
Orientation
France stratégie décrypte la scolarité “heurtée” des enfants de l’ASE (lemediasocial.fr). “Une note de France stratégie met en lumière les difficultés scolaires des enfants de l’aide sociale à l’enfance (ASE). Alors que ces jeunes sont peu nombreux à accéder à l’enseignement supérieur, les auteurs appellent à faire de la réussite scolaire “un objectif explicite du placement”.” (abonnés) La note de France Stratégie.
Retisser les fils du destin : parcours des jeunes placés | France Stratégie (strategie.gouv.fr). “En France, l’origine sociale est la caractéristique héritée qui influe le plus sur les destinées. Qu’en est-il pour les jeunes éloignés de leur famille par un placement en protection de l’enfance ? En quoi leurs trajectoires scolaires et professionnelles diffèrent-elles de celles des jeunes d’origine modeste ou de l’ensemble des jeunes du même âge ?” Téléchargez la note d’analyse 143 – Retisser les fils du destin : parcours des jeunes placés
Quelques infos sur la mise en place des prépa secondes dans les académies.
À Tours, la classe prépa-seconde comme tremplin (lanouvellerepublique.fr)
Metz : une classe prépa-seconde unique en Moselle vient d’ouvrir au lycée Schuman (lequotidien.lu). “C’est une expérimentation unique en Moselle : une classe prépa-seconde vient d’ouvrir au lycée Schuman. Onze jeunes, peut-être bientôt quinze, sont volontaires. En juin, ils n’ont pas obtenu leur brevet des collèges. Pendant une année, ils vont suivre des cours de consolidation et surtout sept heures par semaine d’enseignements individualisés sur leur orientation professionnelle.”
Et un article de juillet, mais… Déménager pour étudier : des conséquences pour les jeunes comme pour les régions (theconversation.com). “Ce 12 juillet 2024, la phase principale d’admission de Parcoursup s’est terminée pour les 650 000 bacheliers français, que ce soit avec joie, surprise… ou déception. Pour beaucoup, l’heure est désormais à l’organisation et aux recherches de logement. Le départ pour les études est un chamboulement personnel : premier appartement, premières courses tout seul, nouveaux amis. C’est un chamboulement structurel, aussi, pour le territoire d’où l’on vient et le territoire où l’on va.” Par Amélie Soubie, Doctorante en géographie, Université Bordeaux Montaigne.
Supérieur et son entrée
Précarité étudiante : le constat alarmant de cette nouvelle enquête (lefigaro.fr). “Selon l’étude de Linkee, un jeune bénéficiant d’une aide alimentaire sur 10 a déjà dormi dehors ou dans sa voiture. La précarité étudiante ne cesse de s’accentuer. C’est ce que révèle une nouvelle enquête de l’association d’aide alimentaire Linkee, menée auprès de 5115 étudiants bénéficiaires de paniers repas. Les personnes sondées ont répondu au questionnaire entre novembre 2022 et juillet 2023. Et les résultats obtenus sont effrayants.”
Pessimisme et déploration perpétuelle ou optimisme conquérant ? – Universités 2024 (universites2024.fr). “Être fier de l’organisation des JO, des résultats des équipes françaises doit nous conduire à réfléchir à cette dépression permanente qui semble régir la psyché collective française, y compris évidemment dans l’ESR. La question n’est pas de nier les difficultés ou les obstacles mais de prendre leur mesure, sans angélisme mais sans noirceur non plus, afin de comprendre comment y faire face positivement. Car la célèbre formule d’Antonio Gramsci, “pessimisme de la raison, optimisme de la volonté” ne pourrait-elle pas être avantageusement remplacée par l’optimisme de la raison face au pessimisme (chez certains) de la volonté ?” Par Jean-Michel Catin.
Formation et insertion professionnelles
Le développement sans contrôle de l’apprentissage supérieur dans des établissements privés lucratifs : illustration angevine | ESS, Emploi, Formation, Insertion et bien d’autres choses. | Michel Abhervé | Les blogs d’Alternatives Économiques (alternatives-economiques.fr). “De nombreux travaux montrent que la conjonction de la libéralisation de l’apprentissage permise par la loi dite Pénicaud et de l’extension des primes aux employeurs pour les formations du supérieur du plan de relance a permis le développement très important d’un enseignement supérieur privé. Celui-ci, qui permet d’échapper aux aléas de Parcours sup, ne fait pratiquement l’objet d’aucun réel contrôle de la part de l’État comme l’a bien montré le Rapport d’information 2458, de la commission des affaires culturelles et de l’éducation de l’Assemblée Nationale sur l‘enseignement supérieur privé à but lucratif (voir L’enseignement privé à but lucratif : le développement non maitrisé de l’apprentissage dans le supérieur a induit d’importantes dérives) et induit un coût très élevé pour les finances publiques, comme l’a clairement montré Bruno Coquet (voir Un apprenti génère en moyenne plus de 26 000 € par an de dépenses publiques)” Par Michel Abhervé
Les GRETA sont-ils les oubliés de l’Education nationale ? (cafepedagogique.net). “Ce jeudi 12 septembre 2024, le SE-UNSA appelle les personnels à une journée de mobilisation pour défendre les conditions de travail des personnels des GRETA. « Le SE-Unsa considère que le Gréta, premier organisme de formation continue des adultes, contribue à une offre de formation professionnelle de service public de qualité à laquelle nous sommes attachés ».”
Jobs of the future − Corriger l’inadéquation entre l’enseignement et le marché du travail – VBO FEB – Verbond van Belgische Ondernemingen – Fédération des Entreprises de Belgique (vbo-feb.be). “Depuis 2019, la FEB organise l’enquête Bridging the future dans le cadre de son programme Young Talent in Action. Un résultat revient systématiquement : l’enseignement ne prépare pas suffisamment à l’entrée sur le marché du travail. La question centrale de ce White Paper est donc la suivante : comment remédier à cette inadéquation ? Quel est le fond du problème ? Quelles sont les solutions potentielles ?”
Ailleurs et partout
Hausse alarmante des attaques contre l’éducation dans le monde, dénonce l’UNESCO | ONU Info. “Plus de 6.000 attaques contre l’éducation ont été recensées dans le monde en 2022-2023, soit une augmentation de 20 % par rapport aux deux années précédentes, a indiqué lundi une agence des Nations Unies, tirant la sonnette d’alarme face à la recrudescence mondiale de ces attaques.”
Etats-Unis : les admissions d’étudiants noirs fléchissent après l’interdiction de la discrimination positive – Les Echos (lesechos.fr) “Pour la première fois, les universités américaines n’ont pas pu avantager certains candidats en raison de leur race, à la suite d’une décision de la Cour suprême. A Harvard, la nouvelle promotion compte moins d’Afro-Américains et un contingent stable et élevé d’Asiatiques. Certaines universités ne semblent pas touchées par le phénomène.”
Ressources et publications
Bernard Pierre-Yves (sous la direction), Michaut Christophe (sous la direction), Resnik Julia (sous la direction). Les nouvelles politiques scolaires. En hommage à Yves Dutercq. “Trois questions vives de sociologie de l’éducation sont ici éclairées : la lutte contre le décrochage scolaire, les politiques d’orientation des élèves, la marchandisation de l’éducation. Effectué à la mémoire d’Yves Dutercq (1955-2020), cet éclairage constitue un hommage à son œuvre. Il permet d’apercevoir à quel point l’apport d’Yves Dutercq a été crucial dans la compréhension des questions scolaires et dans la façon dont s’en sont emparés les acteurs du système éducatif, qu’ils soient professionnels de l’éducation, familles et élèves ou acteurs publics. Par-delà sa fonction de reconnaissance de dette à l’égard d’un grand chercheur, l’ouvrage entend produire une vaste synthèse sur les principales orientations prises par les politiques éducatives contemporaines.” Avec le soutien de Nantes Université.
Jean Zay, le ministre de l’EN du Front populaire est à l’honneur.
Jean Zay, jeune trop tôt – Propos orientés (free.fr). “Avocat, journaliste, député, ministre du Front populaire, l’Orléanais Jean Zay (1904-1944), emprisonné par Pétain, assassiné par la milice de Darnand le 20 juin 1944, fut aussi, dès son plus jeune âge, un écrivain consommé. Pierre Allorant et Olivier Loubès éditent Jeunesse de la République, une somme d’écrits : journaux d’écolier de la Grande Guerre, chroniques littéraires, discours, journal de guerre, romans policiers sous le pseudonyme de Paul Duparc, contes. Un grand Républicain, au prix de sa vie.” Par Jacques Vauloup
Ce que l’école d’aujourd’hui doit à Jean Zay, ministre du Front populaire (theconversation.com). “Le 20 juin 1944, trois miliciens viennent chercher Jean Zay à la maison d’arrêt de Riom où l’ancien ministre du Front populaire est incarcéré depuis 1941 et l’assassinent dans un bois près d’une carrière à Molles, dans l’Allier. Pour le régime de Vichy et la presse collaborationniste, Jean Zay est une figure honnie. Ce radical, né en 1904 à Orléans, issu d’une famille juive, mais élevé dans la foi protestante, franc-maçon et membre de la Ligue des droits de l’homme, est pour le camp nationaliste l’incarnation même de cette IIIe République abhorrée et rendue responsable du désastre de 1940.” Par David Noël, Chargé d’enseignement en histoire contemporaine, Docteur en histoire contemporaine, Membre affilié de l’IRHiS, Université de Lille
Un livre important : Entretien avec Pascal Clerc : L’École « resserrement des espaces et des esprits » ? (cafepedagogique.net). “Pascal Clerc est géographe. Dans son ouvrage Émanciper ou contrôler ? Les élèves et l’école au XXI è siècle, il offre une lecture de géographe des politiques et des pratiques éducatives en France. Il voit « des établissements scolaires qui se referment sur eux-mêmes » et parle du « resserrement des espaces et des esprits ». Pascal Clerc interroge la notion d’espace scolaire et de « clôture scolaire », qui enferme et sépare. Dans cet entretien accordé au Café pédagogique, « le géographe (qui) s’est fait pédagogue », comme le qualifie Philippe Meirieu dans la préface, fait le lien entre histoire et géographie de l’École pour la repenser.”
Le mot : L’école méritocratique – Zoom Zoom Zen | Podcast on Spotify. “durée : 00:46:08 – Zoom zoom zen – par : Matthieu Noël, Cyril Lacarrière – L’école française est-elle encore aussi méritocratique qu’elle le prétend ? Les élèves sont-ils vraiment tous sur un pied d’égalité ? Pour le sociologue Olivier Bobineau, il est urgent de transformer l’école. – réalisé par : Ghislain Fontana.” Dans un style humoristique.
Moins de bébés, moins d’élèves… une bonne nouvelle pour l’école ? | Alternatives Economiques (alternatives-economiques.fr). “Peut-on prédire l’avenir ? Evidemment non. Mais à Alternatives Economiques, on le sait bien, on peut faire des prévisions. Et celles-ci sont encore plus faciles lorsqu’il s’agit simplement de prolonger des données déjà existantes. C’est le cas avec la baisse démographique qui touche l’école et qui va continuer pendant les prochaines années.” Philippe Watrelot Ancien enseignant, auteur de “Je suis un pédagogiste” (ESF-Sciences Humaines, 2021).
Dans les archives orales de l’Éducation nationale, les énarques à la conquête de l’État (theconversation.com). “Dans les coulisses de l’Éducation nationale, qui pilote vraiment les réformes ? C’est pour éclairer ces processus de décision qu’a été lancée dans les années 1990 une grande enquête intitulée « Témoins et acteurs des politiques de l’éducation depuis la Libération ». L’exploration de ces archives orales nous livre un regard inédit sur les acteurs de l’éducation et nous montre comment les énarques ont peu à peu évincé les anciens enseignants et universitaires dans cette haute fonction publique.” Par Bénédicte Girault, Maîtresse de conférences en histoire contemporaine, CY Cergy Paris Université
Un jour, une histoire. Arnaud Rivet : « Entre politique et éducation, c’est le divorce permanent » (estrepublicain.fr). “Arnaud Rivet a ausculté les politiques éducatives conduites dans notre pays depuis 1975 et le passage rue de Grenelle d’un Lorrain, René Haby , jusqu’à Jean-Michel Blanquer. Un travail de thèse, dont il tire un récit à rebondissements riche d’enseignements aux éditions Kairos.” (abonnés)
La reconnaissance du droit syndical aux fonctionnaires a 100 ans (cafepedagogique.net). “Dans ce texte, l’historien Claude Lelièvre revient sur la conquête du droit syndical aux fonctionnaires, un droit qui a fêté ses 100 ans cette année. « Le « Cartel des gauches » qui réunit les radicaux et les socialistes, vainqueur aux élections de 1924, reconnaît aux fonctionnaires le droit de se syndiquer ».”
Triste nouvelle
Les hommages se poursuivent. Disparition de Régis Ouvrier-Bonnaz – SNES-FSU. “Notre camarade Régis Ouvrier-Bonnaz nous a quittés brutalement cet été, à la suite d’une maladie foudroyante.”
Bernard Desclaux
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